Il faut l’apporter à notre fête.
Je tâcherai.
On y mettra les bougies… il servira de lustre.
Tiens, voilà un autre vêtement, c’est bien plus solennel qu’un habit… (Il l’aide à l’endosser.)
Dites-donc, Musette, est-ce que ça me va bien, cette enveloppe ?
Parfaitement… (Elle étouffe de rire. Bas à Marcel, qui est auprès d’elle.) Il a l’air d’un cocher qui a perdu sa voiture.
Ta gaieté est donc revenue ? Tu m’as fait de la peine tout-à-l’heure.
Pauvre garçon !… (À part.) Au fait, il sera toujours temps… (Elle passe à gauche.)
Scène V.
Mes amis, offrez-moi un siège, que je me trouve mal. (Marcel lui donne une chaise au milieu ; il s’assied.) Baptiste, un tabouret pour mes pieds… (Baptiste le lui apporte. — S’étalant.) Dieu ! qu’on est bien !… Si vous saviez ce qui m’arrive… je dois être tout pâle.
Non, monsieur, vous êtes tout jaune.