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tamment à rétablir le point d’équilibre social.

Cet équilibre, en France, à toutes les époques, risqua d’être ébranlé par l’afflux des influences extérieures. Chez nous, toutes les idées viennent se confronter et tous les sangs se mêler. Ces interventions, en même temps qu’elles peuvent nous augmenter, tendent à nous désunir et nous dénaturer. Le péril ne fut jamais plus évident qu’aujourd’hui, où l’on nous prêche que, pour mieux profiter des apports étrangers, nous devons renoncer à nos cadres et aux principes sur lesquels nous sommes fondés. On nous propose d’être moins Français pour nous faire plus humains, et, pour mieux nous élever à la bien-