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IV

Et le croiras-tu ?… Oui ! tu le croiras. Cette sombre couleur — si loin, si loin des teintes pâles du satin miroitant et lutinant de la jupe d’opale, — était celle-là pourtant qui me rappelait le plus la chaste robe de l’ange vêtu de rayons qui a pris ma vie sur ses deux ailes et l’a emportée dans son ciel !