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le pardonniez et que vous m’en remerciiez un jour. Ce jour n’est pas éloigné, Allan. Vous serez guéri, et moi tout à fait vieille. Vous resplendirez de l’auréole de la jeunesse, et, de cette gloire de la vie, il y aura de quoi faire un rayon doux pour mes cheveux blancs. »