Page:Banville - Les Parisiennes de Paris.djvu/188

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

l’amante du poëte Ovide ! Vous aviez, madame, une fleur-de-lys dans votre blason, et c’est vous qui m’avez ordonné de vivre et de mourir en chevalier. Soyez bénie !

Et toi, brûle aussi, parure sacrée qui as touché le sein de la plus belle princesse de Rome et le front de la plus belle dame de France !