Page:Banville - Contes bourgeois, 1885.djvu/247

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


— Il ne manquerait plus que cela, dit Rivarennes. Une femme belle comme vous est pour nous une créancière toujours impayée, et ne lui devons-nous pas une tendre et profonde reconnaissance toutes les fois qu’elle ne nous demande pas la lune ?