Page:Banville - Œuvres, Les Cariatides, 1889.djvu/324

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

O douce mère ! c’est pour toi
Que cette Nature en émoi
Fait trêve à sa longue paresse,
Et, complice de ton rimeur,
Elle vient t’offrir la primeur
De ce rayon qui nous caresse.



16 février 1846.