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III
Et je restais muet. Alors la femme pâle,
Avec un long sanglot douloureux comme un râle,
Frissonna tristement dans un horrible émoi,
Prit ma main dans la sienne et cria : C’est à moi !
III
Et je restais muet. Alors la femme pâle,
Avec un long sanglot douloureux comme un râle,
Frissonna tristement dans un horrible émoi,
Prit ma main dans la sienne et cria : C’est à moi !