Page:Balzac - Œuvres complètes, éd. Houssiaux, 1855, tome 19.djvu/143

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

QUINOLA.

Non… au cabaret… Si l’air de la cour donne bon appétit aux courtisans, il me donne soif, à moi… Et après, mon glorieux maître, vous verrez à l’œuvre votre Quinola ; car ne nous abusons pas : entre la parole du prince et le succès, nous rencontrerons autant de jaloux, de chicaniers, d’ergoteurs, de malveillants, d’animaux crochus, rapaces, voraces, écumeurs de grâces, vos charençons enfin ! que nous en avons trouvés entre vous et le roi.

FONTANARÈS.

Et pour obtenir Marie, il faut réussir.

QUINOLA.

Et pour nous donc ?



FIN DU PROLOGUE