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i bien !

ROYER.

Non, je le donnerai à ma belle-soeur.

MADAME SAINT LÉON, allant s’asseoir sur un sofa à l’autre bout du salon.

C’est vrai, ce sera plus convenable.

ROYER.

Tu vas bouder ?

MADAME SAINT LÉON.

Non, monsieur ; vous êtes bien libre de me préférer les personnes de votre famille.

ROYER.

Allons ! des folies maintenant.

MADAME SAINT LÉON.

J’ai un malheur ; je ne sais pas, comme Mme Saint-Phal, donner des inquiétudes. Ce sont celles-là qu’on aime !

ROYER, assis auprès d’elle.

Voyons, Irma, ne pleure pas, et embras