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— XIII. — Toutes les créatures louent Dieu.
— XIV. — Il s’éveille enfin à la vraie connaissance de Dieu.
— XV. — Toutes choses participent de la vérité et de la bonté de Dieu.
— XVI. — Ce que c’est que le péché.
— XVII. — Par quels degrés il s’élève à la connaissance de Dieu.
— XVIII. — Jésus-Christ seul est la voie du salut.
— XIX. — Il prenait Jésus-Christ pour un homme d’éminente sagesse.
— XX. — Les livres des Platoniciens l’avaient rendu plus savant, mais plus vain.
— XXI. — Il trouve dans l’Ecriture l’humilité et la vraie voie du salut.


Chapitre premier. — Augustin va trouver le vieillard Simplicianus.
— II. — Simplicianus lui raconte la conversion de Victorinus-le-Rhéteur.
— III. — D’où vient que l’on ressent tant de joie de la conversion des pécheurs.
— IV. — Pourquoi les conversions célèbres doivent inspirer une joie plus vive.
— V. — Tyrannie de l’habitude.
— VI. — Récit de Potitianus.
— VII. — Agitation de son âme pendant le récit de Potitianus.
— VIII. — Lutte intérieure.
— IX. — L’esprit commande au corps ; il est obéi : l’esprit se commande, et il se résiste !
— X. — Deux volontés ; un seul esprit.
— XI. — Derniers combats.
— XII. — Prends, lis ! Prends, lis !


Chapitre premier. — Actions de grâces.
— II. — Il renonce à sa profession.
— III. — Sainte mort de ses amis Nébridius et Vérécundus.
— IV. — Son enthousiasme à la lecture des Psaumes.
— V. — Il consulte saint Ambroise.
— VI. — Il reçoit le baptême avec Alypius, son ami, et Adéodatus, son fils. Génie de cet enfant. Sa mort.
— VII. — Découverte des corps de saint Gervais et de saint Protais.
— VIII. — Mort de sainte Monique. Son éducation.
— IX. — Vertus de sainte Monique.
— X. — Entretien de sainte Monique avec son fils sur le bonheur de la vie éternelle.
— XI. — Dernières paroles de sainte Monique.
— XII. — Douleur de saint Augustin.
— XIII. — Il prie pour sa mère.


Chapitre premier. — Elévation.
— II. — Confession du cœur.
— III. — Pourquoi il confesse ce que la grâce a fait de lui.
— IV. — Quel fruit il espère de cette confession.
— V. — L’homme ne se connaît pas entièrement lui-même.
— VI. — Ce qu’il sait avec certitude, c’est qu’il aime Dieu.
— VII. — Dieu ne peut être connu par les sens.
— VIII. — De la Mémoire.
— IX. — Mémoire des sciences.
— X. — Les sciences n’entrent pas dans la mémoire par les sens.
— XI. — Acquérir la science, c’est rassembler les notions dispersées dans l’esprit.
— XII. — Mémoire des mathématiques.
— XIII. — Mémoire des opérations de l’esprit.
— XIV. — Mémoire des affections de l’âme.
— XV. — Comment les réalités absentes se représentent à la mémoire.
— XVI. — La mémoire se souvient de l’oubli.
— XVII. — Dieu est au delà de la mémoire.
— XVIII. — Il faut conserver la mémoire d’un objet perdu pour le retrouver.
— XIX. — Comment la mémoire retrouve un objet oublié.
— XX. — Chercher Dieu, c’est chercher la vie heureuse.
— XXI. — Comment l’idée de la béatitude peut être dans la mémoire.
— XXII. — Dieu unique joie du cœur.
— XXIII. — Amour naturel des hommes pour la vérité ; ils ne la haïssent que lorsqu’elle contrarie leurs passions.
— XXIV. — Dieu se trouve dans la mémoire.
— XXV. — Dans quelle partie de la mémoire trouvons-nous Dieu ?
— XXVI. — Dieu est la vérité que les hommes consultent.
— XXVII. — Ravissement de cœur devant Dieu.
— XXVIII. — Misère de cette vie.
— XXIX. — La grâce de Dieu est notre seul appui.
— XXX. — Triple tentation de la volupté, de la curiosité et de l’orgueil.
— XXXI. — De la volupté dans les aliments.
— XXXII. — Plaisir de l’odorat.
— XXXIII. — Plaisir de l’ouïe. Du chant de l’Église.
— XXXIV. — Volupté des yeux.
— XXXV. — Curiosité.
— XXXVI. Orgueil.
— XXXVII. — Disposition de son âme touchant le blâme et la louange.
— XXXVIII. — Vaine gloire, poison subtil.
— XXXIX. — Complaisance en soi-même.
— XL. — Coup d’œil sur tout ce qu’il a dit.
— XLI. — Ce qui le rejetait loin de Dieu.
— XLII. — Égarement des superbes qui ont eu recours aux anges déchus comme médiateurs entre Dieu et les hommes.
— XLIII. — Jésus-Christ, seul médiateur.