Page:Auguste Rodin - Les cathedrales de France, 1914.djvu/521

Cette page a été validée par deux contributeurs.


XIV


C’est dans mes dernières minutes que je parle, pour ranimer et faire réapparaître les siècles passés. Je suis comme un souffle dans un clairon qui grandit le son.


Je me résigne à la mort de ces édifices comme à la mienne.


Je fais ici mon testament.