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porte, et se glissa à travers l’ouverture avec son butin.
La sortie avait admirablement réussi, mais Louison ne voulait pas rentrer. C’est en vain que le capitaine faisait entendre son sifflement habituel ; Louison tenait son Anglais et ne voulait pas lâcher prise.
Les autres Anglais firent sur elle une décharge générale, mais à distance et dans l’obscurité ; car aucun d’eux ne voulait se hasarder la nuit à tirer à bout portant sur un tel adversaire. Corcoran frémit. Outre la tendresse réciproque qui l’unissait à Louison, c’est d’elle surtout qu’il attendait son salut.