Page:Asselineau - Le Paradis des gens de lettres, 1862.djvu/57

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

scrits. Et ces sages vieillards, qui étaient, à ce que j’appris de mon Guide, les dépositaires de ces collections précieuses, étaient pour les bienheureux pleins de complaisance et de respect. Ils leur obéissaient avec zèle, et ne leur parlaient qu’après avoir été interrogés. Et ils répondaient alors avec politesse et obséquiosité.