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toujours à lui que nous croyons devoir rapporter le principal honneur de la science ; c’est lui qui l’a créée ; sans son génie elle serait peut-être encore à naître. Il n’a pas tout fait sans doute à lui seul ; mais en regardant à ce qui reste à faire dans ce champ indéfini, nous pouvons être équitables envers un passé à qui nous devons tant, et nous montrer reconnaissants par modestie.