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et concourent entr elles : car si la force de la pesanteur l’emporte sur celle qui est dans le continu, pour en amener la division et la séparation, le corps sera porté d’autant plus vite et plus violemment en bas ; et si la pesanteur est la plus faible, le corps surnagera à la surface.

§ 6. Telles sont dont les considérations que nous avions à présenter sur la pesanteur et la légèreté des corps, ainsi que sur tous les phénomènes qui les accompagnent et qui en résultent.


FIN
DU TRAITÉ DU CIEL.


duire aussi : « Il faut comparer ces forces entr’elles. » — Surnagera à la surface, ou « flottera. »

§ 6. Telles sont les considérations, ce résumé se rapporte aux chapitres qui précèdent ; mais on aurait voulu en outre un résumé de tout le Traité du ciel. Ce résumé manque ici ; et il faut dire que ces récapitulations générales, tout utiles qu’elles seraient, ne sont guère dans les habitudes d’Aristote.