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à peu près identique pour les deux traités, où se trouvera plus tard l’exposé des questions laissées de côté.

6° Livre IV, ch. X, § 32, p. 212 de ma traduction. Aristote renvoie l’explication de la nature de la liqueur séminale et des phénomènes de la grossesse, au Traité de la Génération, en même temps qu’à l’Histoire des Animaux et aux Descriptions d’anatomie. Voir le Traité de la Génération, livre II, ch. V, p. 44.

7° Livre IV, ch. XII, § 23, p. 250 de ma traduction. L’auteur se réserve d’expliquer pourquoi les oiseaux ont des testicules à l’intérieur, quand il parlera de la Génération des Animaux. Voir le Traité de la Génération, livre I, ch. III, p. 13, et ch. V, p. 44.

8° Livre IV, ch. XIV, § 4, p. 269 de ma traduction. Aristote annonce, en terminant le Traité des Parties, qu’après avoir étudié tous les organes des animaux, il ne lui reste plus qu’à étudier leur génération, ainsi que nous venons de le dire un peu plus haut.

Telles sont les citations du Traité de la Génération qu’offre le traité des Parties des Animaux. On conçoit sans peine qu’elles y soient plus multipliées que partout ailleurs, à cause de la connexité même des deux sujets et des deux ouvrages.

Opuscules Psychologiques, Traité de la Sensation, et des choses sensibles, ch. IV, § 11. Aristote, recherchant quelles sont les conditions que l’aliment doit présenter pour être vraiment nutritif, ajoute : « Nous discuterons ce sujet d’une manière complète dans le Traité de la Génération ; pour le moment, nous ne ferons que l’effleurer