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1° Livre II, ch. III, § 13, p. 106 de ma traduction. Aristote se demande comment le sang nourrit tous les organes du corps, et, d’une façon plus générale, ce que c’est que la nutrition. Il ne répond pas immédiatement à ces questions ; et « il pense qu’elles seront étudiées plus convenablement dans le traité de la Génération des Animaux, et ailleurs. » Le mot Ailleurs indique sans doute le Traité de la Nutrition, auquel Aristote s’est référé souvent, mais qui ne nous a pas été conservé. Ce mot indique peut-être aussi le Traité de l’Ame.

2° Livre II, ch. VII, § 16, p. 133 de ma traduction. Aristote renvoie au Traité de la Génération l’étude spéciale de la liqueur séminale et du lait, attendu que le premier de ces liquides forme l’animal, et que le second le nourrit après sa naissance. Ces deux études se trouvent dans le Traité de la Génération, livre I, ch. XII et XIII, p. 69 et suiv., et livre IV, ch. VIII, p. 325.

3° Livre III, ch. V, p. 52 de ma traduction. Le texte renvoie les observations sur la manière dont les animaux se nourrissent et sur les fonctions du sang, aux recherches ultérieures concernant la génération. Cette citation est analogue à la précédente.

4° Livre III, ch. XIV, § 3, p. 101 de ma traduction. Après avoir expliqué quelles sont les fonctions de l’estomac, et du canal intestinal, depuis l’ingestion des aliments jusqu’à l’expulsion des résidus inutiles, Aristote remet l’étude de ces matières au Traité de la Génération et au Traité de la Nutrition.

5° Livre IV, ch. IV, § 3, p. 133 de ma traduction. Référence