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de cette question essentielle. Lui-même ne manque pas de nous l’apprendre à plusieurs reprises, soit en terminant le Traité des Parties (Livre IV, ch. XIV, § 4, p. 269 de ma traduction), soit en commençant le Traité de la Génération (Livre I, ch. I, § 4, p. 3), et l’Histoire des Animaux), (Livre I, ch. IV, § 8, p. 27 de ma traduction), quand il réserve, pour le traité particulier de la Génération, certaines théories qu’il se propose d’approfondir, et qu’il ne veut pas toucher prématurément.

Les citations abondent dans l’original. Ici comme ailleurs, elles sont nécessairement de deux sortes : ou le Traité de la Génération des animaux est cité dans d’autres ouvrages Aristotéliques, ou il cite ces ouvrages. Nous énumérerons d’abord le premier genre de citations ; nous viendrons ensuite au second, qui, à lui seul, ne serait pas démonstratif, mais qui ajoute une force nouvelle aux autres témoignages.

Dans l’Histoire des Animaux, on ne trouve que la citation que nous venons de faire, et peut-être en outre quelques allusions plus ou moins directes.

Au contraire, le Traité des Parties a des citations très nombreuses. On peut en compter jusqu’à huit dans le second, le troisième et le quatrième livres. Pour le premier livre, on se rappelle qu’il est consacré exclusivement à l’exposé de la méthode en histoire naturelle ; et dans une discussion de cet ordre, une citation quelconque pouvait difficilement trouver place.

Voici les huit citations.

Traité des Parties des Animaux :