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les mammifères, les oviductes simples, ou doubles encore, dans les trois autres classes des vertébrés ; et l’utérus, qui, dans les mammifères, peut être unique, double, simple, ou même quadruple. A l’extérieur, les organes éducateurs sont les mamelles, en nombre variable pour la plupart des mammifères, et les poches pour quelques-uns d’entre eux.

Après les vertébrés, Cuvier passe aux animaux sans vertèbres : les mollusques, où l’on trouve quatre combinaisons différentes d’organes ; les vers, qui présentent à peu près les mêmes combinaisons ; les crustacés, où les organes intérieurs, ovaires et testicules, qui sont doubles ailleurs, sont quelquefois réunis en un seul ; les insectes, où les organes sont extérieurs et simples en général, placés à l’extrémité du corps ; enfin, les échinodermes, qui sont hermaphrodites. Les zoophytes se multiplient par bourgeons et boutures.

Ici s’arrête l’analyse de Cuvier, et il termine un peu brusquement ses recherches, par une trentième et dernière leçon, consacrée à l’histoire des sécrétions et des excrétions. Il s’excuse