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LIVRE III
CHAPITRE PREMIER
Des parties qui concourent à la génération ; chez les femelles ces parties sont toujours intérieures ; différences plus nombreuses dans les mâles ; des testicules en général et de leur position ; les poissons n’ont jamais de testicules ; les serpents n’en ont pas non plus ; organisation spéciale des serpents et des poissons ; testicules des ovipares ; leur verge ; exemple de l’oie, du pigeon, de la perdrix, au moment de l’accouplement ; testicules des vivipares, munis de pieds ; description détaillée de leur organisation ; dessin Anatomique à consulter ; destruction des testicules par compression ou par ablation ; des matrices en général ; description de la matrice chez les grands animaux ; le vagin, l’utérus, la matrice et son orifice ; matrice des vivipares bipèdes ou quadrupèdes ; matrices des oiseaux, des poissons ; matrice des quadrupèdes ovipares ; matrice des animaux sans pieds ; matrice des sélaciens ; figures Anatomiques à consulter ; matrice du serpent ; la vipère est seule vivipare ; différences des ovipares et des vivipares ; matrices des animaux à cornes qui n’ont pas les deux rangées de dents ; positions diverses des embryons dans la matrice. — Résumé.
§ 1[1]. On vient de dire quelles sont les autres parties intérieures des animaux, quel est le nombre de ces parties, quelle est leur nature, et quelles sont
- ↑ Il ne reste plus… Pour ce qui regarde les parties intérieures, et non pas pour terminer tout cet ouvrage. — Qui concourent à la génération. Aristote, comme on sait, a fait un traité spécial sur la génération ; cette fonction est d’une si haute importance, et elle est si essentielle, que les zoologistes ne sauraient y donner trop d’attention. Le traité spécial d’Aristote sur la génération est un monument qu’on ne saurait trop admirer, et où il a montré son génie dans toute sa puissance, son étendue et son exactitude ; voir l’édition et la traduction de MM. Aubert et Wimmer, Introduction, pp. 5 et suiv.; voir aussi l’édition et la traduction du Traité des Parties des animaux, par M. le docteur Frantzius, prêta ce, pp. 9 et suiv.