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consacrée aux parties essentielles de l’animal, dont on a précisé la nature et le nombre. C’est en effet à cet exposé que le premier livre de l’Histoire des Animaux a été donné tout entier. Le Traité des Parties se propose d’entrer dans des détails, en ce qui concerne chacun des organes dont l’Histoire des Animaux n’a pu parler que d’une manière générale et sommaire.

Un peu plus loin, dans ce même second livre des Parties (livre II, ch. XVII, p. 86, édition Langkavel), il est question de l’organisation de la langue des animaux et par suite de leur voix ; et l’on s’en réfère à ce qui a été dit sur ce sujet dans l’Histoire des Animaux ; ce passage est exactement dans le IVe livre de cette histoire, ch. IX, §§ 1 et 13.

Dans le livre III, ch. V, p. 77, même édition, on renvoie, pour le système général des veines dans le corps humain, à la théorie exposée dans les Livres d’Anatomie et dans l’Histoire des Animaux. Ce dernier ouvrage, à défaut de l’autre, qui est perdu, donne cette théorie tout au long, livre III, ch. II, §§ 2 et suivants.

Livre IV, ch. VIII, p. 117, ibid., les Livres d’Anatomie et l’Histoire des Animaux sont cités simultanément à propos des crabes et de leurs pinces. On peut voir en effet ce qu’en dit l’Histoire des Animaux, livre IV, ch. II, §§ 8 et 15, et ch. III, § 2.

Enfin, dans ce même livre IV du Traité des Parties, on renvoie aux Livres d’Anatomie et à l’Histoire des Animaux, pour ce qui concerne les menstrues et la liqueur séminale. Ce sont là deux sujets qu’Aristote a exposés tout au long dans l’Histoire des Ani-