Qu’elle danse, qu’elle s’exerce, je ne l’en empêche pas. Légère comme une biche, une puce sur une toison !
Défais cette robe du haut, mon enfant ; assieds-toi sur les genoux du Skythe, et allonge les pieds pour que je les déchausse.
Ah ! oui, oui, assieds-toi, assieds-toi. Ah ! oui, oui, petite fille. Oh ! que cette gorge est ferme : c’est une rave.
Toi, vite un air de flûte. (À Élaphion.) As-tu encore peur du Skythe ?
Les belles fesses ! Il t’en cuira, si tu ne restes pas ici. Hein ! quelle belle attitude a l’instrument !
Cela va bien. Remets ta robe : c’est le moment de nous enfuir.
Ne va-t-elle pas d’abord me donner un baiser ?
Certainement, baise-le.
Oh ! oh ! oh ! Papapapæ ! quelle langue douce ! C’est du miel attique. Pourquoi ne couche-t-elle pas avec moi ?