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les syndicats en 1897

commissionnaires de la ville, 300, 35 ; employés, limonadiers, maîtres d’hôtels, etc., 22, 90 ; cuirs et peaux, 120, 77 ; ouvriers et ouvrières des tabacs, 100, 246 (76 hommes et 170 femmes) ; vanniers, 28. 40 ; union métallurgique, 50, 22 ; ouvriers lithographes, 60, 35 ; ouvriers en limes, 20, 21 ; colleurs de papier, 28, 65 ; peintres en bâtiment, 76, 52 ; ouvriers poudriers, 25, 48 ; chapeliers approprieurs, 15, 30 ; cordonniers cousu-main, 12, 50 ; marbriers, 24, 34 ; artistes musiciens, 60, 70 ; maréchaux-ferrants, 20, 29 ; ferblantiers, plombiers, etc., 50, 32 ; équipement (section coiffure), 23, 30 ; fédération des cuisiniers, 35, 25 ; confiseurs, distillateurs, etc., 25, 18 ; chemins de fer (section de Toulouse), 600, 800 ; couvreurs, 28, 14 ; charpentiers, 40, 37 ; terrassiers, 7, 65 ; musiciens philanthropes, 5, 30 ; employés aux écritures, 1, 37 ; monteurs en chaussures, 39, 37 ; crieurs et vendeurs, 23, 39 ; ouvrières tailleuses, 27, 60 ; mécaniciens, 30, 43 ; coupeurs chemisiers, 30, 30 ; ouvriers des tabacs, 700, 700 ; pâtissiers, 27, 29 ; union amicale des boulangers, 50, 75 ; menuisiers en fauteuils, 27, 27 ; marchands des quatre saisons, 17, 52 ; union artistique (musiciens), 75, 75 ; ouvriers de l’abattoir, 25, 30 ; trépointeurs, 40, 48 ; cimenteurs, 10, 10, association des hommes de peine, 24, 25. — Total au 1er janvier 1897 : 4,045, 4,742.