Page:Argis - Sodome, 1888.djvu/284

Cette page a été validée par deux contributeurs.
268
SODOME.

Après une rémittence de courte durée dans laquelle il maudit sa maîtresse et la femme, après une chasteté voulue en vain, il eut, lui aussi, des désirs dans cette solitude. Mais, ne subissant pas les mêmes tentations que Soran, il éprouva, il faut trancher le mot, le besoin de la femme.

Ce fut alors que, pour la première fois, il s’aperçut que la fille du vieux Borain était jolie.