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38 neutres ¤£lêhI'it·ê,—d'»I¥elt* clé de la tldtluelien de tmle; -il 4 mourut martyr tle la foi. À côté et avec lui plusieurs docteurs ` dela loi et grands prêtres Ollt acquis une égale renommée à cause de leur piété plutôt qu’à cause de leur vaste érnditjœ; de co nombre sont le rabbin Zadok, le vlcairedn gra~nd·prêtre

 et le ,g¤tnd·pretr,ç,Ismeël lb. Elisa; ce dernier est

connu par ses visions, qui au dire du Talmud le mettent pres- que aumêtne rang que Ezéchiel et Daniel. Mais-celdt fut rendu le plus · célebre fut sans cotmedit Raltann Jackass b. Snltltd, que nous `avens déjà cité en parlaut·- des» écoles de Bike! et de Sclrumsi et auquel on donne une cnrriere de nent

 au nqniilretnplit en partie cm1.mn—·.collegne.et en  

comme sue¤e8Settr,dn·.patt·iat¥che Siméon II. ll avait par être le plus obscur des disciples de Hillel; doué des mêmes qualités et Sntteut de la rare modération de son maître, 'ü aequit bientôt la même pepmrité pmni presque les par- tis qui déchiraient alors la nation ;iet de plus il sut seconcilier, ,ü’une part, Pcstime et les bonnes grâces de Vespasienqui lui accords entre autres faveurs le pardon de la ville de·Jœmnùta l et dn`Sanhétlrin qui y siégeait , et de l’nntre , la protecüen du Eb de Simëeu II, trop jeune encore pour succéder à sonlpère. A Le long` patriarchat de ,Joc/mmm, bien qu’il ne fût pour ainsi dire q ue la tutelle de Rabban Gamlxel II, fut néanmoins une

iles époques les plus fertiles en institutions, soit nouvdles, soit

— modillées selon les exigences du temps. Il introduisit plusieurs réformes dans le~cè~étno=nial d es oürandes tant _qu"ll en exista, dans le rit et surtout dans le calendrier relativemetn anmode de calculer les ou nouvellesqlunes d’après lesquelles se réglait la âxation des prineipal es fetes. Ces institutions de Rabéun Jochomm sont d’autan~t plus remarquables qu’elles éta- blirent une espèce de ligne dedémarcation entre les lois rituelles dont Pesage devait cesser avec la destrnelion du tempk on vue duquel la plus grande partie des luis de `Moise avaient été insti- tuées, et celles dont Fapplieatlnn ne dépendait d’•ucune cir- c6nstançe`ét1·angère. Comme `ïaursi plus tard Poccasiou de revenir sur ce point essentiel, je m’en dispense pour le moment etje continue cette revue des humm ef dœ chem qui ont