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661 suœtus 760014, l€8 p8l‘D3B8lIl8, l6B ll'éSOl'lBI‘S, les &[Ill8., les pl‘0CllBS PBPBDÉS, le hazau et un bedeatnfetdes personnes de la société (M7?) [1) du IDHlil`6 de la lIl&l80ll, C0lli·0l‘l'lÈlélI`l€l'll HUX Sl·8.lUlS de C€ll€•là. Sous peine de ls méme amende, il est interdit de porter à la synagogue, pour la Circoncision, une coupe (2) en or; et, sous peine de la même amende, il est défendu de célébrer le troisième jour (3) de la Cll‘G0llCl8l0l] û|1lI‘8Il]€l'll qllê la Nuit de Veille. Article treize. Sous peine de la méme amende, le repas de Bor Mitsva (4) ne doit pas être dillérent de celui de circoncision, ni (I) Voyeltrt. i. (1) On se sert de deux coupes à la circoncision; l’une pour se rincer la bouche après la succion, l’autre pour dire la bénédiction, devant le sanctuaire, surfeu- faut, après l’avoir circoncis; alors il reçoit son nom. On a voulu réfréner le luxe en défendant de se servir d’une coupe d’or. (3) Le troisième jour était une nouvelle fête; en ce·jour l‘enfant estordinai- rement guéri. Quant au jour de la Ci rconcisiou, il y a ordinairement un grand repas d’au moins dix israélites au-dessus de treige ans, formant un PJQ, nombre une assemblée religieuse. On a considéré le mot nl')973 circoncision comme l'¤¤¤gl‘¤¤1¤1¢ (l'l"'1)» dcë mûls U’N`|`lPi'l LDL) ïllïlll li'lDlUD» Q¤¢'0¤ f¢¤#¢ un repas pour tous les invités. (4) Bar Mitsea (ïtwp 13), littéralementfils du précepte, c’est·-·à·dieenoa· mis à son accomplissement. Dans la croyance israélite, tous les péchés gommis par un garçon jusqn’à Page de treize aus incombent au père. Mais, à cet ép, il est majeur aux,-yeux de la religion, obligé d’accomplir les préceptes, et rœpom sable de ses péchés. Aussi le père, au sabbat où son fils célèbre sa Bar Lfihuu, dit une prière pour remercier Dieu de l’avoir libéré du châtiment auquel l’e:po· saient les pàhés de son Dtîls, devenu maintenant un homme. Autrefois, quand toute Pédueatîon n’avait pour objet, pendant toute ln jeu- nesse, que la la ehémouie du Bar Mitsoa avaitmme signitîcation im- ptlüute. Àujounlllsui cette signification revient tout entièreù l'initin‘|:ion reli- gious, bnqu‘après`_l’étude de la religion et Pexamen qui suit, Penfnt est publi- ggnsut admis dans la synagogue au rang d’israélite, et la cérémonie du Bm- Etsvu n’est que le maintien d’un ancien usage et la preuve que sait lire Püstoime, rien duoplns. Pour les filles, on nefuisait jadisrien, ni ltlenr nais- ence; ai plus tard. Aujournfhui, on-considère avec raison l’iîrstruetion,religieuse dela femme eumnesaussi iuvpurtautn queeelle de‘l’l•omme. N’est·ce·pas·la mère qui est la promises de son enfant? New-ee pas ellequî lui inculque les premières notions de Dieu, de Pàme, du bien, du mal? —