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lllaluus. GI semer dc lazzis et d’arlequinades des feuilles qui ne s’intitulent reli- gieuses que pour avoir le droiLde travestir etde profanerla religion. Pour nous, 'nous croyons que les choses sérieuses doivent être traitées sérieusement, et qu’il estîilus difficile d’être piquant que grotesque : d’un comique de notre première scène à. unsaltim- banque, il y a plus loin qu’on ne pense : le modèle en ce genre a été donné ici même par Ben Levi, qui revient à nous plus ar- dent que jamais pour la cause du progrès isnaélitet et qui sait dire avec tant d’esprit des choses sisensécs, au mbours de ceu qui disent si lourdement des balivernes. _ Nous nous proposons ausside faire une plus large partîà la prédication ; la lecture d’un sermon vraiment bien fait est- très- édifiante, etsoutre les sermons de nos rabbins en France, le publie a déjà favorablement accueilli ceux de M. Weil, Grand-Rabbin; à Alger, et de M. Woque, professeur à l’école rabbiniqne, à Met!. Avant de terminer, nous ne présenterons plus qu’une seule observation au lecteur impartial :.il.est maintes fois arrivé que des hommes, d’aiUeurs honorablœ, se sont trouvés froissés de en que nous leur ayons refusé l’insortion— soit int@role , soit même partielle, de leur prose dansnos colonnes, parce queleurs œuvnü on leurs observations nous paraissaient soit inspirées par des vues tnop individuelles, soit développer trop complaisamrnent des idées qui demandent àètre davantage condensées 2 le tort, en pareille matière, est du côté de nos honorables contradicteurs :.· plus que personne, placés au centre du public et en appnéeinnt d"ensemble les sentiments et les tendances , nous devons néces- saittemeut nous réserverde décider parlnous-mêmes ee. qui inté- neüe. le plus gsand nomhret Qufon. se rassure d’ailleurs; nous n’appliqnerons· qu’avee ime- partialité ee droit indispensable de controle' ;. nous respectent toutes les opinions consciencieuses, nous les convions toutes- àl n faire entendre ioi, mais nousne ferons jamais de ne recueil, ni une œuero de eoterie,·ni une:diatribe,.ni un eneensoir : le parm- pbléteire qui irœulte et bcourtisnn- qui' arlule om entra ou uagramd trait de ressemblance: Vergent doltlon paie leu.rs.li@e$'â en que nous demmdms nous, ce= sont des snIrg•e,.et uonrpnq dm aumônœr ‘ S. Gar-mt. `