q ancnmul llttaacrrss. @7 Agnalésgpar .1e réveil, soit sincère, soit au moins 4'actica stepper- xent, «de la pensée religieuse. Quand le monde .etsee.entro.i.uo·- .znw.1s.nous.apparaissent·clairement dans toute leur vanité, les sentiments religieux, ,philosopl1iqu es , élevés, enfouis plus au IDOÃBB .prot`ondément·dans le·cœ·ur de tout homme, sa raniment d"oux·-memes, et l’intérêt revient à ces questions éternellwt les mêmes et éternellement jeunes que 1'hommeme résout·jamais définitivement, mais vers lesquelles néanmoins il est poussé Süs· oem par une irrésistible impulsion. ` Aussi, ces memes préoccupations générales qu’on pourrait considérer comme un danger pour les problèmes relatifs au dogme, au culte et à la moral e, sont·olles au contraire un nou- vel aliment pour eux. Quand, il y aurabientôt 15 anaées,l'idée première de ce Recueil se présenta à l’esprit de ses fondateurs, maints esprits distingués leur objoctèront aussi et la rgrevité des circonstances et Pincertitude de l a situation et la tlitücultéde surexciter à un assez haut degré l’opinion publique sur daemo- ` tières où la conscience, la raison, l‘âme humaine sont saules mgagéos : nous avons passé outre, et lîexpérience nous aucune raison. Queues incrédules et les sceptiques ne se pressant donc point de s’étonner de la conüance avec laquelle nous poursuivons notre œuvre, et de la tranquillité qui préside au développement de nos aidées : ce qu’on sème avec soin et lenteur, ou en recueille tou- jours quelque chose. Au sein même de la synagogue, que de chan- gements avantageux, que d’hoareuses modifications introduites par la-saule influence dela persuasion, par Panique force dfidéœ, nous osans le dire, saines et justes, exprimées avec consomme «et`modération. Autourde nous, bien des fois, deeossaims d’iut- pcrtans freions ont cherché .à nous disputer roule mérite de ‘B08 observations, ou celui de leur originalité; bien. souvent, des imiiateurs malheureux .ont tenté, on grossissant. laursaix r&étive, dtottisar sw leur ·imp0¤tante_ personne une attention ·dmt.an est ld—’ordtnaire avanc envers sureau de nous punir d’anoir-tmp raison-en —n·ous·t`aieant lîhopneurade nousinsulfar; ·d’nut|cn, Mec des ·-intmtians plus. avouobles -d’tiHeurs, amant aàattsé M =repraqltas,—corntredictoi nas antre ·w=lndatp¤a¤otl·¤Br
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