_ a l8lAB=Ll'I’l6· lâ rw ,_ ·|;eh·.U•t|•qpt=ne@s I. l•|¤•H¤¤.• è luqils fois membre de la G0tItlDission,,de_ littérature, déljué de ladite commission près du bureau administratif et commissaire dèsréunions générales. ` -· Des nouvelles plus récentes nous apprennent que Phorrlh mouvement révolutionnaire de la population musulmane n'• pas rœpeçté les israélites, et qu’après leur avoir fait subir les traite- ments les plus cruels, on a mis le feu à leurs habitations. La garnûon tnrgue est encore restée paisible sfectatrice. -0n a evéa Damas une tombe en ’hœneur dnfsmar père Thomas, portent pour inscription : Mart asaminl par les jflïflt Sir Muses Moutetiori, dit le Jewish Chronicle, est psrti ` pour Paris dans l'iutention de représenter au gouvernement l‘in• justice de perpétuer de la sorte une calomnie démentie en théorie et par le fat`:. M. est en effet. venu à Paris : nous ne onnaisnns pas le résultat de sa généreuse démarche. `-`ê- Le révérend docteur Schiller, le savant réfugié hongrois, 1 été élu rabbin de Manchester. ·—·-· Bmâaxc, là première chambre s’est prononcée contre l’é-
israélites., ‘
— Ce n’est pas en France seule que les événements ont exercé une fâcheuse influence sur la opagation de la presse israélîte, nous voyons par la Gazette du }ïda°isme et par l'Ort'ent, qn’il en ei demême en Allemagne. La aussi, la rmction reli- gieuse si nskiciable aux intérêts de notre culte n’a pas encore
liindilérence. Elle ne se réveillera, nous le crayons,
que otsqu’il_sera trop tard. Est-ce une la Gazette du Judaisme, ditcette feuille, ne devrait pas se dans chaque communauté israélitel Si au moins àsme chaque instituteur en favorisait la propsgatiqn l " @ant_aux,Archn>e:, nous l’avons déjà dit, Paugwtation le nos abonnés ne tournerait pas à notre seul avantage; nous aug- menterions nos dépenses au profit de nos lecteurs; espérons, ·-· Le 5 septembre dernier, a eu lieu, la consécration de la
synagogue à Adelaîd , dans l ’Australie,du Sud. La so-
lennitéa réunion grand nombre de et tonsentsd@h construction à la fois élégante et solide du. saint édiûce. Les priém d"usagè ont été dites avec une touchante ferveur, et les halleluia, chantés en chœur, ont dignement clos l’imposante cérémonie. -— Une imwsante cérémonie aréuni lundi 2 décembredernicr la israélite de Manchester : la pose de la premiere pierre de la nouvelle école. Toutes les formalités commandées par la circonstance ont été accomplies avec autant de zèle que d’harmonie: discours d’inauguration , chants religieux, pierre adaptée à la solennîté, l’œuvre du gt‘and·rahbin, rien n‘à man-
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