_· t i 'IsniÉL11·¤._ `îëî'5 et nous àccorderï Iaüpaix du cœu 'la «le:Ilo‘Iouùv|io pis, gg min, qulàn me pretât Phlentioti Éüô sonner °°“"8 à la dûwîüt, Qll,0|1 sanclinaut le jour du Sabbath ,¤9¤‘l’¤ir6ns tout ce, que le Judaïsme exige ne nous, et Iquîen - Pbéisëêüiqà un Seul article du Décalogue, nous nous aoquittonsnde toutes les eoîligations morales et religieuses ordonnées dnnsllo
mosaïque. Mais voici ce que j"ose dire: Quiconque sanctilie
ilücërement et avec conscience le Sabbath du Seigneur, est cer- taiuement dans la bonne voie pour se pénétrer profondément de la’ majesté de son Créateur. Celui qui observe le, quatrième com- mandement et en elïectue les diverses obligations, trouvera dans iûsdbbûlh une ancre d`espérance; car, quelles que soient ses dé- viations, à d"àutres égards, de la lettre et de l’esprit du livre de l'Alliance, la sanctiûcation du Sabbath, dans le sens qneje viens d'étublir, ne peut guère manquer de lui rappeler ses transgres- sions et de Pengager à chercher sérieusement Dien, et de recon- naitre dans Yinstitutiou sacrée du Sabbath le gage infaillible de l"atnour, ’de la miséricorde, de la clémence et de la gràce divine... . Arrêtons-nous ici; il suffira, je pense, de ces faibles extraits peur rœeurer nos lecteurs les plus orthodoxes sur les principes uüigieux de la Synagogue réformée, pour renverser tout cet iéchafaudage d’accusations que l’ignorance du vrai Judaïsme et l’aversion iinmodérée pour tout ce qui s’écarte des voies routi- niàres, se sont empressées de dresser contre des hommes sincère- meut attachés à la foi paternelle, mais trop éclairés pour ne pas distinguer l'iv1·aie de l’or pur, et assez courageux pour reconnaî- 'tre publiquement cette distinction. i i i ` ' b G. Hssss. . 4 , v « NOUVELLES. — 'TÃ- La Société des sciences, agriculture et arts du Bas·RhiÃ1, qui a été assimilée, dans la dernière Session -du·-conseil général, à un coniice agricole comprenant, la circonscription de la villezde " Sfrasbou rg, `a procédé dimanche dernier à,l’élection 416, W mesn-
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