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rsnstlwll. $$3- sous peine d’iuterd iction et de 50 th. tl’ameude , personne au- tre que le rabbin, les parnassim, les moranous (t), les très-- proches parents (2), le chantre et le bedeau. Article cinq. Pour le stvleness (3), on peut inviter autant de personnes qu’on veut, mais en fait d’instituteurs (4), il n'y aura que dix étrangers à la ville; même amende que ci-dessus. Article sta:. Au jour du mariage ( ï|B`|l'lTl DV ) (5), on n‘invi·— tera que dix personnes (PID) (6) étrangères, outre le Rabbin, IGI ad l`lll[ll8tl‘&t8lll‘S , les tl`É80I'l€l‘S (aiiuj, les MOTGHOUB , leur est présenté, une poignée de froment qu’ils jettent sur le nouveau couple, en criant : 1:|11 1*15 croissez et multiplie!. Ou sait que parmi les israélitet la stérilité mt considérée comme un mdhenr, et le grand nonbre d'enl'¤ts comme un bonheur. Mais le mot man est autrement expliqué. Hun ai elle- mand signifie homme. Dans les temps reculés où le mélange les sexes n’existn.it pas, les jeunes gens, qu’on tîançait souvent sans les consulter, se voyaient à cette cérémonie pour la première fois; la femme voyait alors seulement son fu- tur mari (mama),. On tenait beaucoup à avoir pour gendre un ("UQL) (versé dans l’étude talmudique) et un homme riche lui donnait saîlle. Il est vrai de dire que celle·ci ne brillait pas ordinairement par les qualités phyquas, souvent même pas par les qualités intellectuelles. · (I`) Morensu siguilie notre naître, titre donné à celui qaient trévversé dans les études talmudiques; jadis ce titre ne se donnait que trèvrarement; on en a;...¤..at_.... tous les six ans, quelquefois tous les vingbquatre ans et souvent seulement après la mort d’un grand talmudiste on lnildonnait ce titre. (2) Le texte dit n1"t]J *L)'|D£J inaptes 'ts témeigneren justice à l’égard d'un parentœtr un degné détermhé, comme père, frere, enfant. Les autres ~pa¤¤euts sont des Uillïp proches, cousins. '(3‘) }"|‘|j*|")]U sioloness; mot chaldéen, signiün présents, que les Baucês IB font entre eux la veille du jour de la noce; au nombre de ces présents il y avait une ceinture, généralement une chaine en or. · C’est encore une fête qui se perd et qui, à Paris, n’eàiste plus. Il y avait alors un repas. C'est le Rabbin qui présentait ces présents aux conjoints. (6) Instituteur: DV'ï¤";¤ c’étaient des hommes qui enseignaient le Tnl—·»—. mud et la religion., (5) l1'§Tl' dois. Il n’y a pas cinquante aus qn’on mariait à ciel découvert. Le dais était formé d`un morceau de velours ou de soie attaché à des perches, tenues par de jeunes garçons, de manière ln mettre a couvert les mariés et les plus. prochesï parents. W ( (B) [UD nomdre. Celui de dix est nécessaire pour constituer une nssemblée» rdigieuse. ·