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_,.· JMFFES Ce II°6Sl que lOl‘SqI.I6 CBS I‘6ptlS ont llell à la lill du Sabbat q.l'i.l est permis d’avoir des ·to_nrtes·aux amandes. i Le I‘€p&S dûllflé par UI] PGTBESS (&dmll]lSlI‘ûlCI.ll‘) à SCS Cûllèglllës n’est pas compris dans cette défense. Ar.tt¤te;denm.1Le_·.sabbat qui ·la,noce Lfçgënbyltzl (I) quand le fiancé et la liancée sont déjà réunis, il est défendu, sous peinedîiriterdiction et d’°une amende de 50 rixthalers , de 'tié- penser plus de 12 i·ixthal'ers pour les sucreries et autres frian- 'd·l_86S« GK Tlûll BlI3'_Q}’8l‘ M1 €l8l10l‘S,·BX C·G[Jl.É RU Rûhhlll. _ tArt£cle trois. A ce même sabbat il n’y aura sur la table,. rite. vant les- tiancémpsgus peine de 20 tb., pas plus de trois gobelets d’argent,,.lamp€S·~el0. (2). , · . _ Article quatre. Au repas du mans (5),, il est défendu d`i·nvil.er, monté delaprièrezet de toute participation aux cérémonies du culte. Nul ne,se permettait de la fransgresser, car on la croyait prononcée au ciel aussi 'bien que sur la terre. ` ' — (1) CB Dpt, dont ldaiggilicntion estlinüerlsine el qulun eruit sig11iEsr·«le_Élr .1r· ·1·Qfo·ui·t nu I?] enfrela joie, s`stp·plique su subbst usent I1 nr, ·—c°esl: une fête [)0.lI‘ les proches parents des lizmeés. Jïutrefuis, un pulœliàilf fête au temple après Yoflîce du vendredi suir, et les amis se re|uEl:|ihrlt·_I il li smaison des fiancée , arraht lerepas; les intimes ri`}: 1·e¤·u~ieu1 qu'eprl|i¤ È Hiül de lainoeednraient depuisce sabbat jusqtfà le En du nhlut nui la Fuite aiticle 8,:}` Din! icl; intervalle, ii éitil. permis cle junnr un: si ei; il -li··¤¤1|¤ïÉ

Bûêütnpügtlf, d6PU;l§ CB j0lI'_jI.ISQI1’8[1fli.'J·I le tnqriegeh   HIIIÃ   HE lE

·~quittait pas; et la fiancée araîtégalemruùteiiiprès ¤:I'e]le une lil'- I (2) L’ornement dela table était en raison ti-- lu :1·mw~.· s parties. ll 3 urait ·au·smil.ipu la tabled·•1tt¤—¢8Pè¤9 de surtout, _ clsargé J fruits, de gâteaux et de ¤¤¢•`°î`î°8 d°“t l°‘ "l8ll°W`$_°‘§I$°TɤM§ porlëë your leurs jeunes enfants,

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 ***8* Qui rapporte touteliltîipersécutioâs contre les ijuifs, ne plais

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