rsniuus. . 56*7 · ‘ paca et autres; Hayem, cravates; Lcnncni (Nathaniel), bretelles; Alcan et Locatelli, limes; Lang (L.), toiles métalliques; Neubur— gcr, lampes; Petit-Jacob, porcelaines. i SOCIÉTÉ DE LA BIENFAISANTE l 8lAÉLI‘l‘E. i Les membres de la société la Bienfaisante israélite voulant célég brer le huitième anniversaire de la fondation de leur société et la septième réélection unanime de M. Dorville aîné, leur prési- dent, se sont réunis mardi dernie r, 2l octobre, dans les salons du restaurantbouix, au Palais National. La gaîté la plus franche, la cordialité la plus vive n’ont pas cessé un seul instant d’animer ce banquet servi avec soin, selon
les prescriptions de notre rite et auquel assistaient plus de
quatre-vingts personnes. Nous avons eu déjà plusieurs fois l’oc- casiou de faire connaître aux lecteurs des Archives cette société de bienfaisance placée aujourd’hui au premier rang de nos asso- ciations charitables et qui doit cette place honorable aux principes d’uui0n, de fraternité et de bienfai sance qui lui ont donné nais- sance et dont elle ne s’est jamais écartée. , C’est ce qui a été rappelé par M. Dorville aîné dans quelques paroles profondément senties en réponse au toast qui lui était porté par M. Marc Klotz au nom de la commission d’organisation du banquet. Des discours, souvent interrompus, par des applaudissements ont été prononcés par MM. Kahn, Hesse, Kopenhague Alcan et Maurice Cerf, et nous devons à l’obligeance d’un des assistants communication de deux chaleureuses improvisations que nous sommes heureux de reproduire car nous partageons compléte- ment les sentiments qu ’elles contiennent. ` ~ M. Dorville jeune, secrétaire et l’un des fondateurs de l a so- ciété s’est exprimé, ainsi: " .. · Msssmnns, · — Permettez-mol de porter à mon tour un toast qui, je l’espè1·c, sera favora- blement accueilli par vous. , Je bois à la France. _ Pour les uns c’est une patrie, pour les autroâ une terre h0¢pUè1°8·
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