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U nuünss. LQ MELANGES. LES FONC’l`l0Nl·AlRES PUBLICS ISRLÉLITES. La loi en France ne connait pas d’Israélites, elle ne connaît que des Français. Cependant, les préventions n’ont pas encore disparu, et pour que la bo nne administration d’un israélite soit reconnue il faut qu’il soitdoublement méritant; c`est au moins un bon résultat d‘un injuste préjugé; il semblerait déposer contre Pexistenee du mal absolu dans ce monde. M. Lambert, sons·pré£et àpuis le ministère Cavaignac, asn donner des preuves neu équi— voques de sa prudence autant que de son dévouement. Nous sommes heureux d’a¤noncer pour la seconde fois qu’à Toul, aussi bien @’à Semur il a pris au sérieux son devoir et s’est consacré tem entier à Paceomplir, ce qui n’est pas peu dans nos temps dif- ûsiles. Voici comment s’exprime à son sujet le conseil d’errondis· nment de Toul : Conseil d'a·rrond£ssernent Je Toul. L’an dernier, le Conseil adressait à M. le sous·préfet ses re- mercîments pour le zèle éclairé et la bienveillance qu’il avait apportés dans tous les actes de son administration; le temps qui s’est écoulé depuis n’a fait que le conlirmer dans la haute epinion qu’il s’en était faite; au nom de Parrondissement tout entier, dont il est certain d’êt.re le fidèle interprète, il le prie d’en rece- voir de nouveau ses sincères remerciements. Ont signé : Saumn, maire de Lucey; , Dnousr., lieutenant-colonel en retraite, maire de Royaumais; Tmsauur, capitaine de cavalerie en retraite, maire de Villey- Saint·Étienn.e ;, _ Anroum, capitaine d’artillerie en retraite, maire de la ville de Thiapcnurt; ,