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nvecnous deB. ... icitet ïeàme que vous ne trnuœ pas le Jemps long ? ' u i _ ·-- A dire vrai, je m’amuse on ne peut mieux !. · à -·- Ecoutez·mol cependant, continua mon interlocuteur, voih la nuit qui tombe et dejà une grande partiede notre monde Bte;

 dqnüa . ’ - ' i

—- Mais pour aller où ? repris-je, tout entieraà ma danse; ····· Comment, pour aller où? Au repœ denoeœ, pmnen! Je ne veux pas arriver des derniers et pour vous comme pour mi, je tiens à oe que mous soyons bien placés. » ‘ .Gomme j’hésitais encore et que du doigt et du remd jemon-·· trai à mon . cicerone comme une excuse légitime pour reeterzteute cette rangée de belles danseuses placée devant nous, le père Sn- lomon, passant tout à coup du ton enjoue au ton sentncienx 2 Q -·-Jeune homme. me dit-·il gravement, chaque chese·en son temps; il est un temps pourdenser, il en eü’nn· aussi pour manger. · — Je n’eus rien à @0eer àeette maxime qui, si elle n’était pas neuve, me pnrgissaü au moins eonsolante; je suivis donc l e bel " père Salomon. - ' . AUG. Wrmn. Puis, juin, test. _ · a. (La suite à un prochain _nu¤ù·o.)L ` ÉTAT DE§ JUIFS A DIJON n Les juifs, établis d*’anrcie¤¤eté à Dijon, y véenrent assezmn- quillernont. pmdant ipzlnsieurs sièclœ; èu moine notre histoire ne parle d’aucnne de ces révolutions qu’i|s tirent ailleurs. Ils n’avaient rien de commun avec les habitants de la ville. Conlinés dans un quartier séparé, ils formaient un corps à part et ne dé- pendaient que dnprînee à qui ils payaient des droits particu- liers. la auraient un mœez bon nombre le maisens, une qm- gogue, une école ou mütrise et un cimetière; lnd épendam%t de ce quartier qu’pn appelle encore aujourdhui la rue des Juifs, fl') Cetafltele est extrait de fourrage de M.‘Ceu·rtep£e, p. H2 L HG, roy. Arvhioea du 15 août, p. 428.