460 · ncxmrs la lune s’avise de se mesurer avec un rival, elie en sera pour ses frais. 'Ilélas, nous avons vu qu’il n’en est pas ainsi: à plusieurs reprises des rayons auxquels on avait déjà vu frayer la moitié du chemin, ont été interceptés, parce qu’ils émanaient de la lune et ne voulaient pas avoir l’air de venir du soleil Mais n'appuy ons pas trop sur ce dernier exemple, qui, plus que les deux autres, porte le caractère de la périodicité des éclipses, et peut même cesser d‘·avoir son application trente··six fois dans la période d’une soule éclipse. ' · · L s En général, il 3 a dans toutes ces circonstances cela de con- solaurdu côté des êcllpsesde lune , -—· nous parlons dans le sens ¢lu'lulmud' comme nous l'avons· envisagé-- qu’elles proviennent pour ainsi üire d’uue force majeure, et·que Vobscurité momen- tanéeme lui est pas irlligee par son propre satellite; _ nous ` savons IH oentraire que sa condition de satellite rfempêche pas la lune le rendre la pareille lâ sa maîtresse! · r · . · Mais puisqu’ou nous assure que cette occasion ne se repro- duire pas pendant tout le siècle dans lequel nous sommes, espé- rons que ses adversaires sauront sfêpargner la leçon qu’élle pour- rait être appelée à leur donner. Du reste, pourq uoi désespérer que le temps viendra enfin où, selon la prophétie d’Isaïe (xxx, 26),* la lumière du soleil sera sept fois plus brillante que main- tenant, et que celle de la lune l’égalera en splendeur? ~ _ , ·n.` souuxnosstt. - — Bt·¢x¤I¢s, on juillet zasz. o P ` · ' ` IGÉUGRAPHIÉ u1eL1Qu‘E. F _ " Lu Püdins. -—-· Lesfhilüies qui occupent une si grande place dans Phistoire àueiesine des iœaélites, semblent, au juge- nent de plhtieurs savants distingués, le peuple qui, sous le nom tblîyakosol peuple pasteur conquit et gouverne longtemps l’E- gïple, lili! bünûgdece pays, disparut complétement de la scène HBÉOIÉQIIBÉI munie. Gu retrwve on lplusieum occasions chezles
la hauterépüction militaire dem juuissaient ees peu-
plasçnstenxrs. Louoqueles israélites sortirent de l’Egypte ils ne
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