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innüitus. AW Quit là. reapoltsabëü et dont nul autre n’étaië sdlidairc. Or, on genie kiosque tandis que l`o;n mimaüsait la cane des éolipsœ ·dI ap1‘&lesrègles~del’ustronomie, il nïest guère possible d’aèmettm u4uc.la légende que nous venons·d’e1traire du Talmud surla signi- iieation etlla eause morale du phénomène ait jamais pu être prise -5. la.lettœ. Rieu, en elIet,,u’stt moins compatible avec la.p ro- tpriété de présager lehien ou lc mal que le caractère fun événe- gnantqui doitisa naissance à la manche régulière des corps céles- les et à leur position l’un*à;l’égard de Tantra. · — Rome àtsaroir si l'on se pourrait trouver un senmplus ration- nelà Fexplication donnée par le Talmud ài la cause. des éclipses. Eh bicnl nous n’avons,pour cela qn’à rapprocher le tempsoù aoettescamea été donnée de celui ü nous vivons, et envisager les paroles rabbiniques comme une espèce de maxime de haute po- litique, ce qui, dans tous les cas, nous répugneramoins que d’y soir une nuance de prophétie. Qu`?arrira·t·-il quand une éclipse solaire scëprésente à nos yeux? __··—- Et bâtons-mous de remarquer qtfancieunement, et longtemps encore après la clôture du Talmud, quand on parlait e’une éclipse quelconque, on n'avait jamais en use qn’une éclipse totale, phé- mmène des plus rares pour une région donnée, et par cela même plus difficile à œlculer d’avance avec précision. ··-· La lune vient ,à scplaecr entre ls soleil et la tare; or, le soleil, un corps in- Bîûmêmnt plus grand que la lune, se trouve néanmoins écîipeé, des!-à-dire monentanément privé de ion iuüuenoe sur un autre eütplégtlwlent plus grand que la lune. Il devient doncmani- bloque, quelque petit qu’un eorps puisse être en oompuraison 5i’u¤.c•att‘•, il peut, dans des eirconstanœa eonnéœ, paralya Faction de celui·ci, car empécher la lumière et la chaleur du au- îühle tnzpiber linecœment sur la terre, c’est=la dépouiller de toute son importance. Symbole digne de remarque, leçon qui nérite toute attention l Traduisez ce phénomène en precepte his- torique et politique, il signiüera qu’un homme , un peuple, lutnnt·ils si petits, si faibles qu"ils soient, ie temps peut ve- nir où, acquérant une position voulue, ils pourront neutraliser ou même annuler la force physique et. la t`à~rçe.·maralo, d"uutres hommes ou d’autoc•· tations iuenlimœt .pl•s‘ acunsidénblcvm