312 LICHIVBS du texte des prieres, tout serait au mieux chez eux, Quant 111 temple qui fait l’ohjet de ces lignes, il faut que la parole du prédicateur s’y faste souvent entendre. Mais cela n’est post-; ,sible qu’autant qu’un prédicateur spécial y serait attaché. C’est une idée qui parait s’étre fait jour chez quelques hommes henorables qui ont élevé le temple de la rue Lamartine. La prédication est une partie essentielle du culte, et la parole qui descend de la chaire _est accueillie avec docilité. Il est cer- t,ain que le prédicateur bien inspiré et disert, qui saura parler au cœur et démontrer tout ce que notre religion oüreade con- solant, attirera encore plus de fidèles que la musique la mieux exécutée. S. Canam. . · s ‘ MELANGES. ` · LE, PBOPBETE Ézüci-11BL BT LES HLCHINES A VAPEUR, (1). « L’an du monde 3109, c’est··à-dire 595 ans avant Jésus- Christ, et 2l;l;5 avant notre ère, Ézéchiel eut une vidon, dans laquelle ilaparçut the mimauxfautasüqnœ, qn’il.d&eit en ees termes: · * l Chap. I, verset 4. Un tourbillmt de vent venait du 'ebté de l’a•|tIl!un, et une grosse nuée et un ·feu qui Venrironuait, et une lumière qui tklatait tout autour: et au milieu, c’est—à-dire au milieu du feu, il y avait une espece de métal tres-brillant. A » Un homme de lettres rouennais, M. Pierre Dnmesnil, 'après avoir lu attentivement ce passage, nous le signal_e comme dé- signant les locomotives à vapeur, et nous fait parvenir sur ce sujet des notes qui nous paraissent concluantes. " » Ce tourbillon de vent n’est-il pas celui que provoque le pas- sage d’un convoi 1 Cette grosse nuée n’est-elle pas la fumée épaisse qui s’échappe de la cheminée'! Cette espèce de métal très- brillant, qui ressort an milieu de la lumière et du feu, n’est-il pas le charbon embrasé 1 (1) Cet article est emprunté à lüttmattacb prophëiëettet pittoresque et utile pour 1851. '
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