232 AttctI!VBS ' puis sa fondation parmi les objeu que, selon ses décrets impé- uétrtbles, il a voulu couvrir de sa faveur. ' · Heureuses de cette protection, vous ne pouvez avoir qu'uu ( . seul désir, Mesdames, c’est celui de continuer à agir dans le ( même esprit, à» surveilleravec la même attention, a travailler avecle même zèle, pour faire obtenir de la bonté divine avec la- sucoessiou de pareils bienfaits le secours tout puissant de sa grâee. · Une bieufaitrice, qui a voulu garder l’anonyme’, a donné cette année une dot supplémentaire; la société avait donc trois dots à accorder. i` " Les noms des trois demoiselles sorties de l’urne’ sont: 1° Wahl (Clémentine), orpheline de père, fille de femme Baruch Wahl, liugère, rue des Juifs, 12; 2° Cerf (Julie), fille de Salo- mon Cerf, lingère, rue St-Antoine, L;3 ; 3• Mari: (Anna), fille de Isa ac Marix, lingère, rue dela Verrerie, 63. Les recettes de la société pendant l’année, du 1°' avril 1850 au 31 mars 1851,ont été de 8,76 6 fr. 83 c., savoir: Intérêts. . .......... 2,500 fr. » c. Loterie. ........... 3,322 93 Souscriptions. ........ 2,9lt3 90 Les dépenses pendant la même époque ont été de 6,317 fr. , savoir :· _Deux.dots. . . ........... 3,000 fr. Frais d’apprentissage. ...... . . 3,277 Frais d’encaissement. . . . ..... lt0 Le solde de 2,!t!t9-° fr. 83 c. a étéemployé à Pachat du fonds- LES M1tNDIAN'1‘ s BBAELITB A PARIS. ` ‘ Tout a été dit sur la mendicité et ses résultats déplorables. Mais si la mendicité en genéral est un malheur que les philan· thropes s’appliquent a faire disparaître, nous israélites, nous de- vons surtout faire cesser celle q ui s’exerce parmi nous par des ` ’ israélites. Nous parlerons at1j0urd’hui des pauvresqui, venus à Paris de toutes les parties du monde, forment une population i
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