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390 aacnrvns heureux. Mais le produit de ee hal ne serait·il pas au moins ' quàdruplé. si le nombre des Commissaires choisis parmi uns coreligionnaires les plus intluents était plus grand ‘l D’un autre côté, chaque Commissaire distribue la somme qui lui échoit; n’est·«il pas à craindre que la même personne rcs- coive do doux Commissaires au preiedics d’uu pauvre qui no recoit rien. et ne vaudrait·il pas mieux que la réunion des Commissaires déterminat en oommun les pauvres qui doivent prendre part à la distribution? On nous objectera que les Cotnmismires ont avant tout pour butde soulager des pauvres honteux, qu’ioi le mystere est néces- saire. Nous répondons que ce motif. dont nous apprécions tonte la délicatesse . ne nous paraît pas assea fort pour balancer l’in·· mnvénient dont nous parlons plus haut. D’aillenra on ménage une susceptibilité honorable, non parle mystère du _ la t®a;• tition, mais par celui que l’on met a garder le silence sur les noms des personnes comprises dans la répartition. Le nombre d'hommos qui fintéresaent au sort du malheu- reux ne peut jamais être trop grand. Nous ne voudrions donc en rien décourager les honorables négociants qul, pour la neu; iième fois, ont porté qaatqaa joie dans le séjour de Pindigenco. Nous ne faisons ces observations que dans l’intéret do la charité bien entendue; quand on peut faire plus et mieux, il ac faut pas rester amdeça de sa tâche. Peut-etre aussi serait-·il bien, tout en tolérant le jeu, au- compagnement obligé des soirées actuelles, de lui prescrire une certaine limite pour éviter d’attrister par leurs résultats des [étes dont Porigine est si louable. _ nu nor A 1.·trs1v1:Ms1vr. * Un journal qui se pose comme adversaire des préjugés devrait d"abord n’on pas avoir lul·-même, et pour parler des religions. il faudrait au moins les connaître. Cependant, comment qualifier Partiole que M. A. Brdan a inséré dans ce journal, le 6 avril, a propos des.60,000 francs demandés par le ministre des cultes pour la reconstruction do la grande aynltœne do Paris i‘ · -