BüAÈLl'1‘E. · 9 des coteries à redouter ; de deux maux, nous choisissons le moin- dl'€, Bl IB m0mHt‘Bf€'B, SBIIB ¢0lllI'B(“l; le pfûlhièf 2 lill Chûil mal fait ne discrédite pas une institution; un choix iniquement fait discrédite et I’élu et Pélection ; j’aime mieux , au pis aller, les Il]épl°i§8S dB l'îgIl0l’&IlC8 ql]8 i8S îB_itlSl.iCB8 [)08Sii)i€S, fêâllillll de calculs et de manœuvres (1). Gates, quels que soient les membres ds la commission nommée lt Lyon , nous croyons à leur loyauté; mais, ce que DGI}! BIVOIIB IBHà , 6,08I ([08 il iûyüülê IIB mûl pli toujours Ill) homme en garde contre des iunuencu individuelles. Telles sont les ohservstiom que nous croyons devoir soumet- ttc lh public: on snrslt dû procéder il Lyon comme on a pro- cédé, il y s peu de temps, dans le Haut—Rhin; c’oût étb pun- étre le seul moyen de ramena l’unio¤, déjà troubles , et si Iûüû È ifüübiü, dâü B œumüüüülê ÃBFIÉHIO Ik Lyûlls • * , ' La IBUIB Slliïûlîiù, dülli IIOUB l’8¢¢YOHB Cùmmlmiültiûll Ill mO- mülli (18 IDBHTB SOUS ])l‘€88€, I ÉIIÉ 3dl‘¢SSêB 211 pfêâidêlli de il Cûmmiââiûll àdmil1îSîl‘IîiV8 de LYOB. ` Lyon, le 13 décembre 1850. _ I Monsieur ll Pfltübltî dc la Cûmmîtlfûfl ddmiltîtlftliüit de la Communauté israëlitc de Lyon, ` .l‘ail’l1onneur de vous adresser parla prèsentema démission de membre tic h commiâsiül addiinîâlfàlîïo. En voici les motifs! Lllîsltldmflllblltl itijllillts i il commission MII! Il llolllilihlibl (Eh nbhh ms. njmit avoir été dictée par unsyslème Wexcluslon et de comic auquel il,nc me convient pas d’associcr mon pom; la continuation de mes fonctions aurait pu laisser croire que j`ai participé à la consommation de cel. ach`., Je (Taï dollC` pu hëâihf à mt! ddmcllft, i0l‘Stll1B je Cl‘0iS ll lllàjbfilé, par le choix de oUllc·listo,¤¤ltù6o d'u1t esprit qui ne peut amener que i¤ftul·· htinn et zusrüs hns ls communauté. s Kàywlmü Siltlüüûüû ddSü1I§UÉ€Éo MOISB LÉIMIL (l) mnîflâ ioçbllàîâlüîfü âB'M&l‘SBills avait invité la C0l1lUlll3tlIëdn Lyonàformer elle même la commission, le droit dela communauté eut été SSBVQIWÉ, mliâ il ne drïlîl. pas |ltî·mêmc nommer la Cïlmtllissîoll, caf il ne peut connaître les dispositions de la communauté. S. Gnu. —-—·--—·-="··.;G¤——--—-·
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