sssststrss. ses . Lsssirùes furent, du rsats, dlvisls en quatre, suivant d’su- tres en srois classes, et ils eurent leurs prêtres, leurs ancieus(:l}, leur trésorier, leurs présidents et cbantres communs dans leurs repas généraux ; ces divisions des classes furent réglées d’apres Pintervalle de temps plus on moins long qu’ils avaient paué comme membres de l’ordre. Suivant Josèphe ces administra- teurs dlstribuaient Ponvrage que chacun avait ll faire; et quoi- que des témoignages d”aide et d'assistance fussent permis i chaque nsembre, de sorte qn’ü s pouvaient donner des secours et nourrir des pauvres aux- frais du trésor commun , il -leur fut cependant défendu de faire des dons a des parents avant d’eu avoir dnnné connaissance aux chefs surveillants, probablement ann de prévenir les abus possibles dans les rapports les plus proches (2). polâsuas ouiwsoruxouns, nsouanns nr unuatnusns par Emile Aron de Commercy. · · Mets 1850, in·8¤. ‘ Nous venons de parcourir un recueil de poésies pbîIosopbi··— ques, morales et reli gieuses de`M . Émile Aron de Commercy. lfextréme jeunesse de Panteur, qui dit quelque part n’avoir que vingt ans, dolt nous rendre indulgent pour ce premier essai, . louable en bien des endroits pour Pintentîon e t quelquefois pour la pensée. Nous aimons assez sa deûnîtion du temps. ° ·Le temps est un neuve indompte ` * ` Dent-Is source au msrtehîott resteriseennue; Duulvisg venu, sattsMr0tz!'rsIüslt1l’6tnl¤¢. O Ss MW dw l’elss.¤il§ !
- (î) Ces anciens sont peut-être les memes que nous trouvons indùgués
sous le nom de -pretres;. · (2) V. Josèphe, Ds bsllo jud., llv.u, cbsp. 8, $6. ,
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