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.u:iareale:.et_paiübIe, il neco¤l'ectionuq,jamaia·des Armes, il ne soonmit pas le commerces Par. lescontçntnment, lamod»à·ation.et Papplication il estlîshe dans se |¤W•|6—;— üllelit Wltgoile et libre lui ouüt. Il ¤’est·pa3- servi et nessert pasnon plus. 'Fous sontlibres. Il netranille pas pour luisenl-» mais*pour.tous et tous pour lui; car uesmmusme et lœ membres de la com- mqmnté entneettl ont Ulüîûfmê les pnepriéüse waonnelles Anslîeuz eommlus. Il Cherslle dûs herbes et 'dos piirrss aux- Aüelhüvou attribue des forees·œ1éai¢aantes·et. ICÉEPDNÈB M ÉBFIDIS, en les aidant etles consolaut. Else hâte de retourner il ·•¤·dsmaure.» sîy baigne el s’y habille .d'u¤ tlêiüllont de lin blanc, sa·~seule*paruee.« ainsi mis shnplemem, il se rend au repas com- mu. et y retroutte ses frères réunis, après un travail malegue ,dans.m;ne mise pareille. Le surveillant. prononce la prière; les metssoul répartis, le pain et les légumes pour ehaeun dans un plat distinct; le sin est banni de la table; mais des conversations, ' .quoique·cirooosctiteç dans un ordre très-limité, des conversa- ·ü0¤S-&llI’ Ianature et sur Pagriculture, Sur des allusions etoiles possaàos mystérieux ·de l’Écriture, amment le oercle. On .t•r•- ·l¤iRe·le repas par des prières; les ocetwetiontdu matin sont reprises après le eepas du midi qui, avec une large hospitalité, une expression de Vœpoir du royaume fun Messie attendu. ll=peut aussi Irü nppirt 'I 'nne lumiere intdrionre, edons surtout M sséwrmsste- ¢isuaos—mvaie¤=t heaueonp raconter de l•ut— temps. Peut-être fut-e•·aussi—Ie

1=·x,• .cbapitre·d’Isaie qui (ul réelle dans l’espoir de temps meilleurs, et il

est presque certain que Josèphe l‘a eu en vue en parlant de prières reçues · cles ancêtres, ete. Nous croyons, quoiqu*en· opposition aveelwpiniôn déve- ¢bp¢6e =r1us ioiu de est aueeur eslimable, que ce symbole de la hmierepeut •I®—e¤ Ile tendance cosmopolite et donnait à eonsttîlre le vœu que la hü¢I‘¢ .,se fît dans toute tummanus; nous trouvons un appui de notre opinion chez le celebre professeur Krauss et chez d’autres savants. Du reste il est remarquable, qu’encore de nos jours dans la collection des prierœ israélites, une prière est eonsaeree à la tüm, qui serlellllîlw Ilüllî (O lillâû, Stigllûlll', éCl3il'CI‘ Sion tl'tltlB !l0l1VBll&`lIIIIl•IÈy dique noutïlous puissions devenir bientôt dignes de cette lumière! • _