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tit AlCH‘¥$ï lu ofùuta-ne- pourra faire mejîibe ç:eù•qu,· à quelqu époque et à quelle occasion que ce soit. Pour celui#o•n¤•l! Metz, où l’on trouvait souvent de simples amateurs (mn: ïtwj) eielant puhitemcnt bien et tous dignes Ienrpiétéede le faire, cette interdiction semble indiquer le déclin Ifarticle 8 statue-que « les paroles de hrbénédîcti*on·l(dcs Ko- Annim)—aet·nnr dites mc recueillement sans aucun chaurpnr tousles Koimnim, immédiatement et •uccessivcment aprëqnll

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L’abolitiou de ce chant souvent discordant mérite dïtreimitèe. iawenle dci Mümoth est abolie. Quant le Penaenble du règlement-, nous na· demun1lemns— m s-’ll`y* uvakmeyen. de àire mieux-; cela nous pam! imposable polini! moment dans cette localité. M. le grand-rabbin e senti la n¢ce•siI£·d'nccomp•gner cerèglement d'une lettreoùil jns·— Mc surtout h àëenae de ch·an·ter· aùessêe a¤:.Keha•in•. Oct qnîdennc la unsure de ce-qu’on peut oser la Metz. Nuke eo¤t@dant de Toulouse se plaint de l’•¥¤€lo¤.·dA¤¤¤ lequel le loonsàloire de Bayonne laitue ¢a0|HlB1lN~l6· QE: M. le grand·rabbin n’a pas encore visitée. Aussi Penseiwî rcli&m 1 1es&·«il œqlücw négliy,. et pourtant œlemm- ïïœt @.19%; il Vwtpüuuuosut-ètttc ~d’une seule, IOI$‘ç8’.|1b0®6·1!ülü@$.‘ cnnaeannmuunté,. üuenuuous, ninialdux plus vit dhü the üàn iahzjcnnme l°i=lB mlkwe. Bla dlBlIüdu_ Clllndadigliüe veütceîmw hpphünstétlü. Jlhi huüù. ¤¤•U•lI¤»n.nlùtnn du edu qui le-ine àn et mpùrs dluntplloue, emqüit la uoüitrceldœ fnî.

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gltlluœcciüm, et dontle·n¤1qund.•·d@l$compr¤«Ia lu: J udaïsme aux yeux de la population de Toulouse, n’est maintenu q¤•·|•¤lelc¤édie·d1’une·u¤la·pe11un••»î lus dgtdou œüt, m•·•u|euent au conüdnle hge•à¤,¤ù•dne¤¤i¤bu central, dont le devoir est de veiller à ce pcgàtcttemlhneel ïl lmplnuptitcaclnetdnh lu fllzgtiiùlimlh la