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108* ancnllmsa " ,, » se èrvlrdu clou tfnh pendu et de la' dent d‘un`cbacal (ou req » nard), nr dans ces temps on croyait ces objets approuvés par` » Pcxpérlence, ee qui passait pour une guérison médicale. Uest » comme avec la plante qu’on appelle n3•‘;m5 fpabiuah) en arabe =• et HRUHÈYB (pioniab) en langue vulgaire , qu"on suspend ll ‘ » l’épilt·ptlque`, etc. ; car tout ce que l’expérience_ ai approuvé, l • qùblque incompréhensible i la science, est permis de l’em- · » ployer puisqu’il prouve une guérison. • J dl. le rabbin d’Oberberghe im, qui a appelé mon attention sur ce passage, désirait connaitre, dans l’iutérêt de Phumauité, cette, herbe approuvée par ce grand esculape. ` F É ni M. Nathan Netter, dela même ville,qui aprés s’étre, par de sérieuses études, préparé a la carrière de la médecine militaire, s'est vu obligé d’y renoncer par suite de la suppression des bô- pltaux militaires d’instruction, m'a dit que c’est la paconia _ ntédicinalc oula pivotizc. En effet, Bescherelle, dans son Dic- tionnaire national, dit sous cet article : _ « ï·Sa racine sert a préparerdans les pharmacies une poudre, '=• une conserve et un sirop employés contre l’ép ilepsie. »`

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NOUVELLES. Le Consistoire de Paris vient de former une commission char- gée de préparer un état des habitants israélites de la circ0¤scripà tion, descendants de ceux de la généralité de Metz. Cette com- mission doit se mettre en rapport avec celle de cette ville, afin d’u·river à une prompte liquidation et à une équitable réparti- tion de la dette de Metz. Le même Consistoire fait également, par Pentremise des com- misœires surveillants, faire des recherches sur l’époque de l’é· tablissemmt des israélites dans les diüérentes localités qui dépen- dent de la circonscription. Si ce travail se généralise, si tousles n Qonsistoires en font autant, et surtout s’il est fait avec intelli.·