M7 ·llf¤¢¤1t? Hnltllllîrltrîe Ibm 4766, t II. p. 761) ditqne Iacommnnauté dmütséninllyfnt lapl••I• cioune des sectes jdvea et tient pour probüc q•’I Pépqnada La destruction du premier temple plusieurs juifs, réfnüh hna des endroits déaerta, ont abandonné le culte des Ilttùtt. data la conviction que, suivant l’exemple des Pythagorôna ïivut en c anachorètes qn’ils @r•nt cniigyptc, ilapwraiantauüana temple natttol. uniquement par tccauretdananneyicicnléc et œntmphtivo, oBrir à l’Etre·Suprémc lmaacrücea ha plus pm: il ajoute que par lasuite,.apre• le eh td¤ dr- constances, les adeptes de cette doctrine ao sont réunis pour former une secte particulière (l).
obscure que Porigine des Ménlens est la dérivation dc
leur nom, et les opinions sur ce point sont aurai trbüviüca. Lœ uns pensent qu’il descend du mot grec âne; (saint), la autres du mot hébreu nan (rester tranquille), parce qu’un dea préceptm de cette secte fut de parler peu; quelqun-una œoient le trouve} dans le mot 1*¤¤ (être dévot), d’aurcs cacao pré- tendent gc le premier fondateur s’œt appelé Hoarau en Bari:. lfopiuion la plus naturelle et la plus conforme à Plniatnire de cette aecteest celle qui fait dériver le nom des ïlonadnuot NBHPÈ Auto MDI (médecin, guérîœânl), soit pllîû ®'îh s’occupaieut de la médecine, soit parce qu’ils gnérianient i la fois Pinte. Nous croy_o u,s devoir attacher une ana- logue au nom de Thérapeutea @xperta en guérüon et en midi- ccments), du mot geo otpaxrwm ou du mot hébreu nnhn, nkmîs R5-l 7 BIB. (La suite au prochaùt numéro.) Nous avons reçu de M. Hallel, instituteur à Oberbergheim, la note suivante: « Maîmonides dans son More Nebouchim, 3F partie, chap. 37, après avoir parlé des défenses concernant les superstitions, dit: · Vous n’objectercz pas qu’ils (les talmndistes) ont permis de (1) V. l‘Hü|oirc dat Comntttttittttc, pur Sttdfc, chap. del Pyiïrécm. (Nok au trauma-.) •’
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