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Isntuns. 555 , Remercions aussi M. Vidal, le ministre ofliciant, des soins qu’il ' a apportés à la formation des chœurs d'hommes, et de la part qu’il y a prise lui-même comme chanteur intelligent et conscien- cieux. Mentionnons encore M. Israël, dont le zèle actif ne s‘est pas , démenti un instant pendant la célébration, et dont les soins at- tentifs sont parvenus à satisfaire l'exigence des nombreux assis- tants. Apportons aussi le tribut de notre reconnaissance à madame Elie Petit, madame Ange Garcin, madame Franchetti et madame Gallula, qui ont bien voulu faire la part de l’infortune. Grâce à ces aimables quêteuses, les pauvres ont fait en ce beau jour une fruc- tueuse moisson. Aussi quel cœur pourrait résister à de si généreux appels? Telle est la rapide esquisse de cette cérémonie, qui a déjà été et qui sera toujours féconde en bons résultats : bonheur des l ' mères, joie des familles, éditlcation de l’âme, voilà ce qu’elle a produit et ce qu’elle sera constamment appelée à produire. Anonrnn CAacAssomra. A Marseille, 2 mai 1852. I l IL IAUT TOUJOURS RESPECTER LA RELIGION DU SERIERT. V Apologue oriental, traduit pour la première fois de ïhébreu, d’A braham Maimonides, fla deilfoyse, par M. Clément Mallet, ·

 orientaliste.

l (Suite. - Voyez n• de février, p. 72.) Après ces paroles rassurantes, le généreux rabbin ramène Di- hon chez lui et lui prodigue tous les soins que commande sa po- sition. La nuit se passe tranquillement. Le lendemain le rabbin · amena Dihon avec lui à la synagogue, le tit cacher sous sa robe, · lhigilized ny Google