Page:Archives israelites 13.djvu/285

Cette page n’a pas encore été corrigée

I"l8· * 279 ràet de noticnsr•eligieusesprér>isesl lle sont nés ausein de croyances juives ardennes, mais irréléchies; ils se sont développés ' ·oàte à côte avec ne foi séculaire, sombre, empreinte encore st comme toute saignaute des souvenirs du temps des martyrs; et, pendant qu’u¤e piété farouche dominait autour d'eux, leur ams impétsene, qui ne vogaitlque des pratiques étranges sans en com- ' · prendre le sens, que des croyances enracinées sans en déméler la liaison et la valeur , s'ouvrait spontanément aux plus neuves comme aussi aux plus romanesques théories : faute d‘une appro- priation quelconque des croyances anciennes aux mœurs nou- velles, les représentants des temps passés mouraient dans toute la plbitude de leur foi, et laissaient à leur chevet de jeunes iutelli- ` gesces pressées par nille besoins nouveau; , avides de com- prendœ et·d`ainer, prêtes à tout embrasser et à tout délaisser. Etc'est ainsi que les forces vives du Judaisme moderne, etant- tstrt du Judaisme français, se sont dissipées lentement : l’incr•é- dulité muqueuse et ignorants des uns a fait cortége à |'obsiusti•n intulérante des autres; dans la jeunesse, les intelligences ferte- ment trsmpéœ ont seules résisté au courant. Quant aux âmes d'ailleurs distinguées ou délicates qui se sont développées sms lumières suüusuteu sur les vérités religieuses dent ou les nourris- suit, les unes ontésé se perdre dans les fungeux sblrnes d'un III- térialisme tout pratique, d`u athéisrne mal déguisé, ou tout au moins d‘s¤ scepticisme sans profondeur comme sans dignité, et .se sont plongées dans les réalitésls la vie pratique, dans les préoccupations les plus rnondaines et les plus matérielles pour échapper ans problèmes qu’el|es n'avaient pas eu le courage d`é— tndier impartialement et d'approl’ondir; les autres, avides de · croyances positives, désireuses de se rattacher i desdognes tixes ` ai arrêtés, apsès lïorugsuse insouciance de la jeunesse, se sent çrécipitéesavecsus enirœment inrétlécbi dansles eaux duûbris- -·tiarsis•u,«es en ont embrassé toutesles praiquessvec testicu- thousissteds néophyte ; ce ¤’était pas à vrai dise changer ds rd- =|io¤, détsiten adopter uuu. . , Ituri laine, poete éminent, élève dellegel, asuisihptsuiha ' de ess deus veiesponr entrer ensuite dsnsh. seconde; ilapsd palm escèsdupanthéinneetpsrlu üücstünvlst‘tun¤s·pdn· Digiiized ny Google n