Dans cette série, les deux conjoints possèdent une latence d’albinisme, tandis que dans la précédente seul l’hybride en possédait une ; c’est pourquoi nous voyons surgir, à la première génération, le type o. a. p. c., en plus du type parental et du type hybride. De même que précédemment chaque descendant à partir de est croisé avec son semblable.
. Le caractère « rosettes » se trouve disjoint complètement et définitivement des deux autres types. L’o. c. p. c. devient bidominant avec production , outre son semblable, des deux autres types qui lui sont récessifs (o. c. p. l. et o. a. p. c.) ; l’)o. a. p. c., qui n’est plus que monodominant, a une descendance représentée par son semblable et son récessif o. a. p. l., lequel sort à l’état de race pure, dont nous avons pu éprouver l’homozygotie jusqu’à .
. — L’o. c. p. c. comporte une partie d’homozygotes et une partie d’hétérozygotes, ces derniers avec descendance d’o. c. p. l. à l’état de race pure ; aucun o. a. p. c. n’étant sorti de ce croisement, nous nous demandons si le type parental n’aurait pas alors perdu la dominance de l’albinisme, pour ne plus fonctionner dorénavant que comme monodominant (du caractère poils longs). C’est d’ailleurs ce que nous avons déjà constaté, lors de notre précédente communication, dans le croisement de l’o. c. p. c. par son semblable. Dans ce cas, ce croisement avait donné 3/4 de courts et 1/4 de longs, ce qui nous autorisait à admettre la perte de la dominance de l’albinisme. Dans le cas présent, la proportion entre courts et longs est la même et nous pouvons en tirer une conclusion identique.
Au no 2, l’o. a. p. c. est vraisemblablement représenté par des hétérozygotes et des homozygotes.
Pour les mêmes raisons d’ordre matériel, nous n’avons pu poursuivre encore l’étude de la descendance du type hybride, d. r. c. p. c. .
III. Croisement hybride , d. r. c. p. c. × Angora albinos .
Les résultats de ce croisement figurent au tableau annexé à la fin de cette communication.
